Accueil du site > Liste des Réunions > Techniques de détection et de suivi de la faune sauvage

Techniques de détection et de suivi de la faune sauvage







Dates, tarifs et inscription >>>

See english version bellow



Programme provisoire, Tarifs et inscriptions ci-dessous

Le Colloque International sur les Techniques de détection et de suivi de la faune sauvage, BOREALIS, se tiendra au Québec du 23 au 24 octobre 2008 au Centre de Séjour Scientifique de Pointe-Racine, Saguenay-Lac-St-Jean.

Conférencier :
Jacques DANCOSSE, DMV, M.Sc.
Conseiller scientifique - Chercheur au Biodôme de Montréal

Il a pour but de réunir les acteurs et les institutions impliqués dans l’étude de la faune sauvage, qui désirent discuter, partager et apprendre sur les méthodes, notamment novatrices, mises en place dans le cadre de la détection et du suivi des mammifères terrestres et marins dans leur milieu naturel.

En abordant, dans un premier temps, les techniques déjà éprouvées et dont l’application sur le terrain montre des résultats pertinents, il s’agira ensuite de faire un état des lieux sur les nouveaux outils actuellement expérimentés. Ce colloque souhaite en effet mettre un point d’honneur sur les nouvelles approches de suivi et de détection en réunissant et en créant, possiblement, des liens entre les protagonistes, auteurs de tels projets. Ces deux courants thématiques s’intègreront par ailleurs, autant que possible, dans une perspective plus large de conservation et de protection des espèces.

Le Colloque BOREALIS sera l’occasion d’éclairer ces sujets par des interventions orales, des posters, des projections vidéo ainsi que des présentations concrètes de dispositifs techniques de détection et de suivi. Toutes ces activités viseront au partage des connaissances et des expériences et, pourquoi pas, à l’émergence de nouvelles idées et de projets communs entre les différents acteurs présents.


Intervenants

Biologistes, Ecologistes, Ethologues, Garde forestier, Gardien de parc naturel...


Public visé

Étudiants, praticiens, centres de préservation et d’observation de la faune, décideurs locaux, enseignants-chercheurs, ingénieurs, représentants des administrations…


Merci de bien vouloir placarder cette affiche dans vos locaux pour informer vos collègues.

Version française Version anglaise
PDF - 574 ko
Affiche du colloque BOREALIS 2008 à télécharger

PDF - 292.7 ko
Affiche du colloque BOREALIS 2008 à télécharger

PDF - 578.4 ko
Poster Colloquium BOREALIS 2008
english version

PDF - 295 ko
Poster Colloquium BOREALIS 2008
english version


Formats et dates de contribution

Le colloque se déroulera en français. Il s’organisera au travers de tables rondes plénières, de séances de présentations, d’ateliers thématiques et de visites de posters (effet cafet’).

Les personnes souhaitant proposer une communication, un atelier ou un poster devront fournir un résumé d’une page comportant la problématique, la méthodologie ou l’approche, les principaux résultats, 5 mots clés et une bibliographie. Elles devront aussi mentionner le titre, le nom des auteurs, leur statut et leur institution de rattachement. Ces résumés devront être envoyés par Email avant le 8 septembre 2008 à borealis@objectif-sciences.com Les confirmations seront communiquées aux auteurs à l’issue de la réunion du comité scientifique du 9 septembre 2008.

Une seconde circulaire précisera en janvier le programme précis des journées.

Les contributions doivent être envoyées après avoir rempli au préalable le bulletin d’inscription (voir plus bas).


Publications

Les actes du colloque seront ensuite à envoyer avant le 3 janvier 2009. Complétés par notre équipe avec les résultats des discussions saisis sur place par les organisateurs ils seront distribués à chaque participant sur CD-ROM mi-février.


Thématiques de contribution

Les contributions doivent être orientées autour de l’un des trois pôles de réflexion du colloque :
- Partage de savoir-faire et transfert de techniques
- Vers de nouveaux outils : des approches innovantes
- Enjeux et applications


Programme indicatif BOREALIS 2008

Le programme ci-dessous est donné à titre indicatif et est susceptible d’être actualisé. (les horaires sont donnés à titre indicatif)

Jeudi 23 Octobre 2008

8:00–10:00

Accueil, déjeuner, installation dans les chambres, installation des posters

10:00–10:30

Pot d’accueil et mot de bienvenue / Par Olivier GAROT (Directeur), Association Objectif Sciences

10:30-11:15

Séance plénière

« Vue d’ensemble sur les techniques de détection et de suivi de la faune » / Par Jacques DANCOSSE

(Conférencier-invité), DMV, M.Sc., Conseiller scientifique-Chercheur au Biodôme de Montréal (Canada)

11:15–12:00

Thème 1 :

La méthode des transects linéaires

« Suivi écologique des populations de phacochères (Phacochoerus africanus, Gmelin 1788) dans la forêt classée de Wari-Maro au Bénin » / Par D. Mireille HOUENOU SEDOGBO, Doctorante en Aménagement et Gestion des ressources Naturelles, UAC et ULg (Bénin/Belgique)

12:00–14:00

Diner et temps libre

14:00–15:30

Thème 2 :

Le piège à poils : une méthode de suivi non invasive

« Présence de Felis concolor au Parc national de la Jacques-Cartier, mythe ou réalité  ? Preuve de présence par la technique du piège à

poils.  » / Par Nathalie RIVARD, Responsable du service de la conservation et de l’éducation au Parc national de la Jacques-Cartier, Sépaq (Canada) et Alexandre SIMARD, Technicien en milieu naturel au Parc national de la Jacques-Cartier, Sépaq (Canada)

« Tests de nouvelles méthodes pour le suivi des populations de lynx (Lynx lynx) en France : le piégeage photographique en coulées et les pièges à poils » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

15:30–16:30

Pause - Découverte du site de Pointe Racine : Possibles activités en extérieur si la météo le permet (sortie en canots, sortie en raquettes, etc. selon les conditions climatiques)

16:30–17:15

Thème 3 :

Le suivi par micro-puces

« Méthode de capture et de suivi du raton laveur (Procyon lotor) dans les grands parcs urbains de Montréal » / Par Jacques DANCOSSE

(Conférencier-invité), DMV, M.Sc., Conseiller scientifique-Chercheur au Biodôme de Montréal (Canada)

17:15–18:15

Posters

- « Suivi de la Corallorhize striée (Corallorhiza striata) au Parc national du Saguenay » / Par Martin BEAUREGARD, Garde-parc patrouilleur au Parc national du Saguenay Saint-Laurent, Sépaq (Canada)

- « Le suivi des ravages d’orignaux : un indicateur de la répartition de la faune dans le cadre de l’étude de la qualité de l’habitat au Parc national de la Gaspésie » / Par Claude ISABEL, Responsable du service de la conservation et de l’éducation au Parc national de la Gaspésie, Sépaq (Canada)

- « Méthodes de détection, capture et suivi télémétrique du kodkod (Oncifelis guigna) » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

- « La faune du Centre de Pointe Racine « capturée » par piège photographique » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

18:15

Souper - Spécialités du lac St-Jean

Vendredi 24 Octobre 2008

8:00–09:00

Déjeuner

9:00–9:45

Thème 4 :

La technologie des transpondeurs passifs (PIT)

« Utilisation d’un système d’antennes (PIT) pour un suivi en continu des déplacements de juvéniles de salmonidés dans un cours d’eau naturel » / Par Patricia JOHNSTON, Candidate au doctorat, INRS-Eau, Terre et Environnement (Canada)

9:45-10:30

Thème 5 :
Le suivi de l’avifaune : la technique de la « repasse »

« Suivi du faucon pèlerin dans le Parc national du Saguenay : améloriations de la technique de détection »

/ Par Dominic SIMARD, Garde-parc patrouilleur au Parc national du Saguenay Saint-Laurent, Sépaq (Canada)

10:30–11:00

Pause

11:00–12:00

Séance plénière

Table ronde et remerciements

12:00–14:00

Apéritif et diner de clôture


Tarifs

Pour cette première édition de colloque, l’objectif de l’association est aussi de créer un premier noyau d’intervenants qui sera à même de réfléchir et participer à cette future rencontre annuelle. L’inscription est à un tarif plancher.

Colloque avec repas jusqu’au 24/10 midi* Adhésion association
Tarif Professionnel 114 CAD 30 CAD
Étudiants et chômeurs** 60 CAD 30 CAD
Journalistes et accompagnants*** 0 CAD 30 CAD

Pour l’hébergement :

Hébergement du jeudi matin au vendredi midi Nuit supplémentaire (pension complète) Nuit supplémentaire seule
Tarif 112 CAD 52 CAD 44 CAD

Pour les personnes habitant la région et souhaitant assister au colloque, un tarif journalier comprenant le repas du midi est fixée à 45 CAD.

* L’arrivée peut se faire soit le mercredi 22 octobre au soir soit le jeudi 23 octobre au matin.

** Tarifs subventionnés par le service d’aide social de l’association Objectif Sciences

*** Tarif de l’hébergement et des frais générés

CE QUE COMPREND LE TARIF COLLOQUE :

- L’accès au contenu complet du Colloque
- Les fournitures du Colloque et la liste des coordonnées des participants
- L’accès à l’ensemble des services du Centre de Séjour Scientifique
- La participation au frais engagés pour la réalisation du colloque
- L’hébergement en pension complète du mercredi soir au vendredi midi, repas compris
- Le repas gastronomique du jeudi soir


Inscription

Après vérification de votre inscription par notre équipe vous recevrez :

- un courrier électronique de confirmation

- une facture pour votre contribution aux frais d’organisation

- le cahier des charges, les dates butoires et les formulaires pour le dépôt de votre contribution (conférence, poster, canevas de l’atelier...).

En cas de soucis merci de nous écrire sur l’adresse borealis@objectif-sciences.com.


Coordinatrice : Mlle Cécile REGAZZI (Ph.D.), Responsable du programme BOREALIS

Comité scientifique : M. Jérome MATHEY, Conseiller Scientifique & Pédagogique - Mlle Héloïse HOTTON, Responsable développement Amérique du nord - Mlle Cécile REGAZZI (Ph.D.), Responsable du programme BOREALIS

Comité d’organisation : Mlle Héloïse HOTTON, Responsable développement Amérique du nord - M. Olivier GAROT, Directeur du Centre de Séjour Scientifique de Pointe Racine - Mlle Hanna KLEINE-WEISCHEDE, Conseillère Publications & Communications - M. Bertrand GOBLET, Conseiller Marketing & Développement - Mme Michèle Egli-Wachs, Conseillère Administration & Logistique.



English version * English version * English version * English version * English version * English version

Provisional programme, Rates and inscriptions below

The International Colloquium on Techniques for detecting and monitoring of wildlife, BOREALIS will be held in Quebec 23 to 24 October 2008 at the Centre for Scientific Living Pointe-Racine, Saguenay-Lac-St-Jean.

Speaker :
Jacques DANCOSSE, DMV, M.Sc., Scientific counsellor - Researcher at the Biodôme of Montréal

This conference aims to bring together people and institutions involved in the study of wildlife who wishes to discuss, share, and learn about innovations in the detection and monitoring of land and sea dwelling mammals in their natural environment.

First, proven techniques whose field application shows relevant results will be presented, then state-of-the-art reports on the new tools currently under evaluation will be discussed. The conference wishes to validate new approaches to monitoring and detection as well as create links between researchers and writers of these projects. In a broad perspective, integration of these two themes, shall lead to improved conservation and protection of species.

The BOREALIS colloquium will provide an opportunity to discuss these issues via speeches, posters, video presentations, and demonstrations of technical devices for detection and monitoring. All these activities will aim to share knowledge and experiences, and hopefully, the emergence of new ideas and joint projects between different actors involved.


Speakers

Biologists, Environmentalists, Ethologists, Forest Rangers, Park Wards...


Target Audience

Students, practitioners, wildlife preservation centres, local policy makers, academics, engineers, government…



Please hang this poster at your location to inform your colleagues.

English version French version
PDF - 295 ko
Poster Colloquium BOREALIS 2008
english version

PDF - 578.4 ko
Poster Colloquium BOREALIS 2008
english version

PDF - 292.7 ko
Affiche du colloque BOREALIS 2008 à télécharger

PDF - 574 ko
Affiche du colloque BOREALIS 2008 à télécharger


Formats and dates of contribution

The colloquium will be held in French and English. This colloquium will consist of roundtables plenary sessions, presentations, workshops and poster presentations (cafet effect ’).

Persons wishing to submit a paper, workshop, or a poster will be required to provide a one-page abstract containing the problem, methodology or approach, the main results, 5 keywords and a bibliography. The title, authors, their status and institution of affiliation should also be mentioned. These summaries should be sent by e-mail as soon as possible and no later than September 8, 2008 to borealis@objectif-sciences.com. Confirmations will be sent to authors at the conclusion of the meeting of the Scientific Committee on September 9, 2008.

A second circular will be published in September to specify the precise programme.

Contributions should be sent after completing the prior registration form (see below).


Publications

The proceedings of the colloquium will be sent before January 3, 2008. Completed by our staff with the outcome of discussions seized on the spot by the organizers they will be distributed to each participant on CD-ROM mid-February 2009.


Themes of contribution

The contributions must be focused on one of the three poles of reflection of the colloquium :
-  Sharing know-how and technology transfer
-  Towards new tools : innovative approaches
-  Issues and applications


Provisional BOREALIS programme for 2008

Here you will find the [provisional colloquium programme

Jeudi 23 Octobre 2008

8:00–10:00

Accueil, déjeuner, installation dans les chambres, installation des posters

10:00–10:30

Pot d’accueil et mot de bienvenue / Par Olivier GAROT (Directeur), Association Objectif Sciences

10:30-11:15

Séance plénière

« Vue d’ensemble sur les techniques de détection et de suivi de la faune » / Par Jacques DANCOSSE

(Conférencier-invité), DMV, M.Sc., Conseiller scientifique-Chercheur au Biodôme de Montréal (Canada)

11:15–12:00

Thème 1 :

La méthode des transects linéaires

« Suivi écologique des populations de phacochères (Phacochoerus africanus, Gmelin 1788) dans la forêt classée de Wari-Maro au Bénin » / Par D. Mireille HOUENOU SEDOGBO, Doctorante en Aménagement et Gestion des ressources Naturelles, UAC et ULg (Bénin/Belgique)

12:00–14:00

Diner et temps libre

14:00–15:30

Thème 2 :

Le piège à poils : une méthode de suivi non invasive

« Présence de Felis concolor au Parc national de la Jacques-Cartier, mythe ou réalité  ? Preuve de présence par la technique du piège à

poils.  » / Par Nathalie RIVARD, Responsable du service de la conservation et de l’éducation au Parc national de la Jacques-Cartier, Sépaq (Canada) et Alexandre SIMARD, Technicien en milieu naturel au Parc national de la Jacques-Cartier, Sépaq (Canada)

« Tests de nouvelles méthodes pour le suivi des populations de lynx (Lynx lynx) en France : le piégeage photographique en coulées et les pièges à poils » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

15:30–16:30

Pause - Découverte du site de Pointe Racine : Possibles activités en extérieur si la météo le permet (sortie en canots, sortie en raquettes, etc. selon les conditions climatiques)

16:30–17:15

Thème 3 :

Le suivi par micro-puces

« Méthode de capture et de suivi du raton laveur (Procyon lotor) dans les grands parcs urbains de Montréal » / Par Jacques DANCOSSE

(Conférencier-invité), DMV, M.Sc., Conseiller scientifique-Chercheur au Biodôme de Montréal (Canada)

17:15–18:15

Posters

- « Suivi de la Corallorhize striée (Corallorhiza striata) au Parc national du Saguenay » / Par Martin BEAUREGARD, Garde-parc patrouilleur au Parc national du Saguenay Saint-Laurent, Sépaq (Canada)

- « Le suivi des ravages d’orignaux : un indicateur de la répartition de la faune dans le cadre de l’étude de la qualité de l’habitat au Parc national de la Gaspésie » / Par Claude ISABEL, Responsable du service de la conservation et de l’éducation au Parc national de la Gaspésie, Sépaq (Canada)

- « Méthodes de détection, capture et suivi télémétrique du kodkod (Oncifelis guigna) » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

- « La faune du Centre de Pointe Racine « capturée » par piège photographique » / Par Cécile REGAZZI, Ph.D., Association Objectif Sciences (Canada)

18:15

Souper - Spécialités du lac St-Jean

Vendredi 24 Octobre 2008

8:00–09:00

Déjeuner

9:00–9:45

Thème 4 :

La technologie des transpondeurs passifs (PIT)

« Utilisation d’un système d’antennes (PIT) pour un suivi en continu des déplacements de juvéniles de salmonidés dans un cours d’eau naturel » / Par Patricia JOHNSTON, Candidate au doctorat, INRS-Eau, Terre et Environnement (Canada)

9:45-10:30

Thème 5 :
Le suivi de l’avifaune : la technique de la « repasse »

« Suivi du faucon pèlerin dans le Parc national du Saguenay : améloriations de la technique de détection »

/ Par Dominic SIMARD, Garde-parc patrouilleur au Parc national du Saguenay Saint-Laurent, Sépaq (Canada)

10:30–11:00

Pause

11:00–12:00

Séance plénière

Table ronde et remerciements

12:00–14:00

Apéritif et diner de clôture


Rates

For this first edition of this colloquium, the goal of the association is to create a nucleus of players who will be able to think and participate in future annual meetings. Registration is on a price scale.

Colloquium with meals until 24/10 noon* Association Members
Professional fee CAD 114 CAD 30
Students and the unemployed** CAD 60 CAD 30
Journalists and accompanying*** CAD 0 CAD 30

For accommodations :

Lodging from Thursday morning to Friday noon extra night (full board) night alone
Tariff CAD 112 CAD 52 CAD 44

For people living in the department wishing to attend the colloquium, a daily fee includes lunch is set at 45 CAD.

* The arrival can be either the evening Wednesday, October 22 or the morning of Thursday, October 23th.

** Rates subsidized by the Social Aid department of the association Objective Sciences

*** Fare and lodging charges

WHAT IS INCLUDED IN THE COLLOQUIUM PRICE :
- Access to the full content of the colloquium
- Proceedings and Supplies of the colloquium and the list of participants’ details
- Access to all the services at the Centre for Scientific Living
- Participation in paying the costs incurred for the implementation of the symposium
- Full board and lodging as from Wednesday evening to Friday midday, including meals
- Gourmet dinner Thursday evening


Registration

After verification of your registration, you will receive :

- A confirmation email
- A bill for your contribution to the costs of organizing
- The specifications, deadlines and forms for filing your conference poster, outline of the workshop, etc....

If you need further assistance, please write to borealis@objectif-sciences.com.


Coordinator : Ms Cécile REGAZZI (Ph.D.), Responsable of the BOREALIS programme

Comité scientifique : Mr Jérome Jérome MATHEY, Scientific & Educational Adviser - Ms Héloïse HOTTON, Responsible development North America - Ms Cécile REGAZZI (Ph.D.), Responsible of the BOREALIS programme

Comité d’organisation : Ms Héloïse HOTTON, Responsible development North America - Ms Hanna KLEINE-WEISCHEDE, Adviser Publications & Communications - Mr Bertrand GOBLET, Adviser Marketing & Development - Mrs Michèle Egli-Wachs, Adviser Administration & Logistics - Mr Olivier GAROT, Director, Center for Scientific Living Pointe Racine
— -

Click here for English version            


Speaker : Jacques DANCOSSE, DMV, M.Sc. ; scientific counsellor - researcher at the Biodôme of Montréal

Detection and monitoring of wildlife in its natural environment is generally a tedious job for the observer on the ground. For various reasons (low population densities, cryptic species, nocturnal behavior, etc.) it may be extremely difficult to prove, from a factual point of view, the presence (or absence) of a species in a defined area or to estimate the numbers of a population and then guarantee a real monitoring situation.

To address this problem, there are different methods, some of which are standardized, that can produce fairly reliable results according to the objectives sought. However, if each method has its advantages, each also has its limits in terms of efficiency and results. At the moment, there is no single « turnkey » approach, and the study objectives must be clearly defined in order to determine the most suitable approach.

Already proven « traditional » methods

Among the various existing methods, the field observer has roughly three major groups of different techniques at their disposal :

The first is the presence of indices that reflect the daily activity of the wildlife being studied. Feces, hair, tracks, cast , remnants of meals, and vocalizations are ways that can reveal the presence and allow for the identification of a species. The animal community interacting with the plant community, the presence (or absence) of certain plant species may also give an indication of the presence of animal species in a given area. An experienced eye and solid knowledge in identifying such evidence also permits the naturalist or scientist to obtain a working base, particularly in the beginning phase of a study or in the case of the simple objective of determining the presence or absence of a species. However, thanks to snowfalls, following tracks in the snow can become a “robust” and relevant method, especially in the case of estimating population densities, as it uses a process of data harvesting and verification standardized according to a sampling plan (establishing transects or loops spread evenly over an entire study area).

A second methodological group, which corresponds to the capture-mark-recapture (CMR) models, provides access to various demographic parameters and allows a clearer picture of the dynamics of population (Lebreton et al. 1992), such as reproduction rates, survival rates, and staffing. This international reference method, which was developed several decades ago placing rings on birds, is based on the principle of identifying and tracking an individual of one part of the population. The capture and marking may equally well be physical (using, for example door-traps or nets and placing rings or ear tags, or any other identification of individuals) and non-physical (“capture« of hair or harvesting feces, for example, followed by genetic identification, »capture" by image, cf. Photographic trap, and subsequent identification of individuals by the naturally occurring unique combinations of markings, e.g. individual coat pattern). Finally, one large group gathers all the techniques, which is to capture individuals and equip them with a device more « technologically advanced ». These include monitoring by telemetry : animals are equipped with collar transmitters that make it possible to follow their daily movements precisely, their patterns of dispersion, and so on. Another technique involving location and data acquisition is represented by laying Argos, which, via satellite transmits information on the being individuals followed (Chardonnet et al. 2004). This system allows researchers to understand food acquisition strategies, reproduction, migration and adaptation to the local environment of many animal species more clearly.

Traditional methods vs. promising new approaches

Like virtually all species of large terrestrial carnivores (Felids, Canids and Ursids) and most species of marine mammals (Phocidae, Balaenidae, Delphinidae, etc.) whose populations change over very large areas and densities are generally low, their detection is made more difficult, especially compared to other species such as ungulates, and indeed, access to information appears more challenging. The discrete and cryptic nature that characterizes some of these mammals in addition to issues of human accessibility in some environments, such as mountains or the high seas, are all obstacles that hinder in situ exploration and detection of wildlife. In such situations, conventional methods may be inadequate. Moreover, in most cases they require human deployment and relatively significant financial investment.

This is the case for the camera trapping method by which, in addition to requiring a considerable human effort (to set up and recover the camera traps), also requires a significant financial investment (the cost of equipment as well as film and development for traditional cameras) as compared to the likelihood of photographic capture of a species. For example, a French study undertaken on the common lynx (Lynx lynx), whose objective was to estimate the minimum trapping effort necessary to detect the presence of lynx at a reasonable cost, showed that the known method could not meet the original objectives of the study (Basille et al. 2003). Thus, with a total of 740 photographs from 30 traps, not a single photograph of a lynx was collected.

With regard to the study of tracks, this method is difficult to use in areas other than paths and roads and, depending on the substrate, is limited by lack of snow and obviously impossible in the marine environment. In addition, there are many misunderstandings related to the consideration of a single footprint, several tracks on the same path are fundamental to determine the presence of the host species. These difficulties are amplified when the observer is facing a particular atypical imprint (for example, a presumed feline track with traces of claws) or when several related species attend the same range. An example of this risk is illustrated in areas frequented by the Canadian lynx (Lynx canadensis) and the bobcat (L. rufus) (McDaniel et al. 2000). In recent years, several teams of scientists have become interested in developing new methods for the detection and monitoring of large mammals. Thus, the harvest of Felid hair and sound recordings of marine or terrestrial mammals are paving the way for new developments in the area of animal monitoring.

The first method, to mention just one, consists of exploiting and harnessing the natural animal behavior of physical contact with the elements of the environment, common behavior among others in the families Felidae and Ursidae (Marboutin et al. 2004, McDaniel et al. 2000). This promising technique can detect the presence of individuals through the collection of hair left by an animal on a type of hair trap/smell station. Indeed, the collection of hair samples provides physical evidence that is generally not subject to observer bias and can also be used in genetic analysis. In addition, hair-trapping stations can be deployed over large areas with minimal cost as compared to other techniques. However, the effectiveness of this method is based on certain conditions. On one hand the hair trap must be easily found in the area by the target species, and on the other hand, the trap must be sufficiently attractive to stimulate and provoke a marking behavior by the species under observation.

What are the potential applications ?

At the moment, biodiversity and issues of conservation are fundamental in understanding the disappearance of species, both plant and animal, and the continuous pressure exerted on wildlife and their habitats. The creation of major international environmental protection agencies (IUCN, WWF, UNEP, FAO, UNESCO, etc.) have established missions and adopted various charters for the conservation of species, in order to strengthen the idea of the imminent danger facing the biological integrity of the planet.

In order to conserve and protect, it is necessary to have a minimum of knowledge about the living world. Such knowledge is acquired through solid methodological protocols. The goal of the BOREALIS symposium is to bring together those involved in this type of research to share their knowledge and pass their know-how to others. It will also evaluate the new tools available for the detection and monitoring of terrestrial and marine mammals established in order to further our knowledge of their behavior and range, and thus better preserve these species. We hope to choose an approach that is based on innovation and creativity to create links, relationships, joint projects, and the emergence of new ideas for the sake of species preservation.

Bibliography :

- Basille M., Balestra L., Henri J.-P, Lambrech M., Marboutin E., Pernet L., Touzain L. 2003, Photodétection du lynx (Lynx lynx) : résultats et analyse d’une pré-étude de faisabilité, ONCFS Protocole de suivi des populations de lynx, 20p

- Chardonnet P., Boulet H., Paolini C., Ipavec A., Moumouni A., Ide Niandou E., El Hadj Issa A.E., Konate K., Novelli O. 2004, Utilisation d’un ULM pour la capture d’éléphants (Loxodonta africana) et la pose de balises Argos dans le parc régional du W (Bénin, Burkina Faso, Niger), Game and wildlife science, 21 (4) : 747-756.

- Lebreton J.-D., Burnham K.P., Clobert J., Anderson D.R. 1992, Modeling survival ans testing biological hypotheses using marked animals : a unified approach with case-studies, Ecological Monographs, 62 : 67-118

- Marboutin E., Laurent A., Regazzi C., Léger F., Moisson P., Lambrech M., Balestra L., Henri J.-P, Basille M., Touzain L., Michallet D. 2004, Tests de nouvelles méthodes pour le suivi des populations de lynx en France : le piégeage photographique en coulées et les pièges à poils, ONCFS Rapport Scientifique : 18-21

- McDaniel G. W., Mckelvey K. S., Squires J. R., Ruggiero L. F. 2000, Efficacy of lures and hair snares to detect lynx, Wildlife Society Bulletin, 28(1) : 119-123






Conférencier : Jacques DANCOSSE, DMV, M.Sc. Conseiller scientifique - chercheur au Biodôme de Montréal

Détecter la présence et assurer le suivi de la faune dans son environnement naturel relève, généralement, d’un travail fastidieux pour l’observateur de terrain. Pour diverses raisons (faibles densités de population, espèces cryptiques, mode de vie nocturne, etc.), il est parfois extrêmement difficile d’avérer, d’un point de vue factuel, la présence (ou l’absence) d’une espèce dans une aire déterminée ou encore d’estimer les effectifs d’une population et garantir ensuite une situation réelle de monitoring.

Pour répondre à cette problématique, il existe différentes méthodes, pour certaines standardisées, qui permettent d’obtenir des résultats relativement fiables selon les objectifs recherchés. Cependant, si chaque méthode possède ses avantages, chacune a également ses limites en termes d’efficacité et de résultats. A l’heure actuelle, il n’existe ainsi aucune démarche « clé-en-main », et les objectifs d’étude doivent donc être clairement définis afin de retenir la démarche la mieux adaptée.

Des méthodes « classiques » déjà éprouvées

Parmi les diverses méthodes déjà existantes, l’observateur de terrain dispose schématiquement de trois grands groupes de techniques différents :
- Il s’agit en premier lieu des indices de présence, reflets de l’activité quotidienne de la faune. Fèces, poils, empreintes, coulées, reliefs de repas, vocalisations sont autant de marques qui permettent de révéler et d’identifier la présence d’une espèce. La communauté animale interagissant avec la communauté végétale, la présence (ou absence) de certaines espèces floristiques peut également donner une indication sur la présence des espèces animales dans un lieu donné. Un œil averti et de solides connaissances dans l’identification de ces indices permettent ainsi au scientifique ou au naturaliste d’obtenir une base de travail, notamment dans la phase préalable d’une étude ou dans le cas d’un objectif simple de présence ou d’absence d’une espèce. Toutefois, en mettant à profit les chutes de neige, le suivi par pistage hivernal peut devenir une méthode « robuste » et pertinente, notamment dans le cas de l’estimation des densités de population, s’il fait appel à une démarche de récolte et de vérification standardisée selon un plan d’échantillonnage (établissement de transect ou de circuits en boucle répartis de façon homogène sur l’ensemble d’un secteur étudié).
- Un deuxième groupe méthodologique, correspondant aux modèles de capture-marquage-recapture (CMR), donne accès aux différents paramètres démographiques et permet une vision plus précise des dynamiques de population (Lebreton et al. 1992), tels que les taux de reproduction, les taux de survie et les effectifs. Cette méthode internationale de référence, développée depuis maintenant plusieurs décennies dans le cas des oiseaux bagués, repose sur le principe de l’identification et du suivi individuel d’une partie de la population. La capture et le marquage peuvent tout aussi bien être physiques (à l’aide par exemple de pièges-trappe ou de filets et de pose de bagues ou de marquage auriculaire, ou de tout autre moyen d’identification des individus) que non physiques (« capture » de poils ou récolte d’excréments par exemple et identification génétique, « capture » par l’image, cf. piège photographique, et identification par combinaison de marques uniques naturellement présentes sur les individus, cf. pattern du pelage).
- Enfin, un dernier grand groupe rassemble toutes les techniques qui consistent à capturer des individus et à les équiper d’un dispositif disons plus « technologique ». Il s’agit par exemple du suivi par télémétrie : les animaux sont équipés de collier-émetteurs permettant alors de suivre précisément leurs déplacements journaliers, leurs patterns de dispersion, etc. Une autre technique associant localisation et acquisition de données est représentée par la pose de balises Argos qui, via les satellites, transmettent les informations relatives aux individus suivis (Chardonnet et al. 2004). Ce système permet notamment de comprendre de manière plus précise les stratégies alimentaires, la reproduction, les migrations et l’adaptation au milieu de nombreuses espèces animales.

Les méthodes classiques vs de nouvelles approches prometteuses

Comme pour ainsi dire toutes les espèces de grands carnivores terrestres (Félidés, Canidés et Ursidés) ainsi que pour la plupart des espèces de mammifères marins (Phocidés, Balaenoptéridés, Delphinidés, etc.), dont les populations évoluent sur de très vastes superficies et en densités généralement faibles, leur détection est rendue plus difficile, comparée notamment à d’autres espèces comme les Ongulés, et de fait, l’accès à l’information apparait plus délicate. La nature discrète et cryptique qui caractérise certains de ces mammifères ou encore l’accessibilité parfois difficile par l’homme de certains milieux, tels que les massifs montagneux ou la haute mer, sont autant d’obstacles qui entravent le travail in situ de prospection et de détection de la faune. Dans ce genre de situation, les méthodes classiques peuvent alors s’avérer inadaptées. De plus, elles nécessitent la plupart du temps un déploiement humain et financier relativement conséquent.

C’est le cas par exemple de la méthode par piégeage photographique qui en plus de réclamer une main d’œuvre importante (mise en place et relevés des pièges par l’homme), requiert aussi un investissement pécuniaire non négligeable (coût des appareils ainsi que celui des pellicules et des développements pour les modèles argentiques) comparativement à la probabilité de capture photographique d’une espèce considérée. A titre d’exemple, une étude française entreprise sur le lynx commun (Lynx lynx), dont l’objectif était d’estimer l’effort minimal de piégeage nécessaire afin de détecter la présence du lynx à un coût raisonnable, a montré que la dite méthode ne pouvait répondre aux objectifs de départ de l’étude (Basille et al. 2003). Ainsi, aucune photographie de lynx n’a pu être recueillie sur un total de 740 photographies pour 30 pièges.

En ce qui concerne l’étude des empreintes, cette méthode s’avère difficilement exploitable en dehors des chemins et des routes et selon le substrat, limitée en l’absence de neige et logiquement impossible en milieu marin. De plus, il existe de nombreuses confusions liées à l’examen d’une seule empreinte, plusieurs empreintes sur une même piste étant fondamentales pour déterminer l’appartenance à l’espèce hôte. Ces difficultés s’amplifient lorsque l’observateur est notamment confronté à une empreinte atypique (par exemple, une empreinte de félin avec présence des traces de griffes) ou lorsque plusieurs espèces voisines fréquentent une même aire de répartition. Ce risque est rencontré par exemple dans les régions fréquentées par le lynx canadien (Lynx canadensis) et par le bobcat (L. rufus) (McDaniel et al. 2000).

Depuis quelques années, différentes équipes scientifiques s’intéressent au développement de nouvelles méthodes de détection et de suivi des grands mammifères. Ainsi, la récolte des poils des Félidés, l’enregistrement sonore des mammifères marins ou terrestres ouvrent la voie à de nouvelles pistes dans le domaine du suivi animal.

La première méthode, pour ne citer qu’elle, consiste à exploiter et à mettre à profit le comportement naturel de frottement contre les éléments de l’environnement, comportement commun entre autres à la famille des Félidés et à celle des Ursidés (Marboutin et al. 2004, McDaniel et al. 2000). Cette technique prometteuse permet de déceler la présence d’individus grâce à la collecte de poils laissés par un animal sur un dispositif du genre piège à poils/station à odeurs. En effet, les poils fournissent une preuve physique qui n’est généralement pas sujette au biais de l’observateur et peuvent être utiles, le cas échéant, pour des analyses génétiques. En outre, les stations de pièges à poils peuvent être déployées sur de grandes étendues avec un coût minimum, comparées aux autres techniques. Cependant, l’efficacité de cette méthode repose sur certaines conditions : d’une part, le piège à poils doit être aisément repérable dans l’espace par l’espèce que l’on souhaite cibler, et d’autre part, le piège doit être suffisamment attractif pour stimuler et provoquer un comportement de marquage par frottement chez l’espèce étudiée.

Quelles applications ?

A l’heure actuelle, la biodiversité et les enjeux de sa conservation apparaissent fondamentales au regard de la disparition des espèces, tant végétales qu’animales, et des pressions continuelles exercées sur les espèces sauvages et leurs habitats. La création des grands organismes internationaux de protection de l’environnement (UICN, WWF, PNUE, FAO, UNESCO, etc.), les missions mises en place ainsi que les différentes chartes adoptées en vue de la conservation des espèces, ne font que renforcer l’idée de danger imminent pour l’intégrité planétaire.

Or, pour conserver et protéger, il est nécessaire d’avoir un minimum de connaissances sur le monde du vivant. Ces connaissances s’acquièrent grâce à des protocoles méthodologiques solides. Le colloque BOREALIS se propose de rassembler les acteurs impliqués dans ce type de démarche afin de partager leurs connaissances, et éventuellement de transmettre leurs savoirs à d’autres. Il permettra également de faire le point sur les nouveaux outils de détection et de suivi des mammifères terrestres et marins mis en place dans le but d’une meilleure connaissance, et donc d’une meilleure préservation de ces espèces. Nous souhaitons ainsi privilégier une approche basée sur l’innovation et la créativité permettant de créer des liens, des relations, des projets communs et l’émergence de nouvelles idées dans un souci de préservation des espèces.

Bibliographie :

- Basille M., Balestra L., Henri J.-P, Lambrech M., Marboutin E., Pernet L., Touzain L. 2003, Photodétection du lynx (Lynx lynx) : résultats et analyse d’une pré-étude de faisabilité, ONCFS Protocole de suivi des populations de lynx, 20p

- Chardonnet P., Boulet H., Paolini C., Ipavec A., Moumouni A., Ide Niandou E., El Hadj Issa A.E., Konate K., Novelli O. 2004, Utilisation d’un ULM pour la capture d’éléphants (Loxodonta africana) et la pose de balises Argos dans le parc régional du W (Bénin, Burkina Faso, Niger), Game and wildlife science, 21 (4) : 747-756.

- Lebreton J.-D., Burnham K.P., Clobert J., Anderson D.R. 1992, Modeling survival ans testing biological hypotheses using marked animals : a unified approach with case-studies, Ecological Monographs, 62 : 67-118

- Marboutin E., Laurent A., Regazzi C., Léger F., Moisson P., Lambrech M., Balestra L., Henri J.-P, Basille M., Touzain L., Michallet D. 2004, Tests de nouvelles méthodes pour le suivi des populations de lynx en France : le piégeage photographique en coulées et les pièges à poils, ONCFS Rapport Scientifique : 18-21

- McDaniel G. W., Mckelvey K. S., Squires J. R., Ruggiero L. F. 2000, Efficacy of lures and hair snares to detect lynx, Wildlife Society Bulletin, 28(1) : 119-123

Dates, tarifs et inscription >>>


Soutenez l'association en partageant cette page autour de vous :

Voir également :

Cherchez parmi 7 réunions :